1997 à 2000 : « Durant deux années, l’assureur…n’a donc pas su ou voulu respecter les obligations… en vertu des dispositions conventionnelles et légales». Retarder l’expertise amiable et les travaux 18 septembre 1997 : MMA gère depuis 1992 les mêmes sinistres, MMA sait qu’il faut changer immédiatement tous les panneaux. « les MUTUELLES DU MANS sont fréquemment parties en qualité d’assureur ». 20février2003:« Durant les deux années écoulées, l’assureur dommages-ouvrages n’a donc pas su ou voulu respecter les obligations dont il était débiteur en vertu des dispositions conventionnelles et légales. En application de l’article L242.1 du Code des Assurances, il lui (MMA) revenait notamment de notifier sa proposition d’indemnisation dans les 90 jours suivants le sinistre enregistré, soit au plus tard le 18 décembre 1997 ». « …elles (les MMA) ont fait choix d’instruire le dossier sans tenir compte du délai prescrit par la loi… sa proposition d’indemnisation définitive ne peut satisfaire SAPAR tant elle fait litière de la réalité du sinistre, des contraintes inhérentes à son activité et du quantum de préjudice réellement occasionné ».
Retarder
1997 à 2000
« Le temps de l'assureur et le temps de l'assuré ne sont pas le même. Le temps des BLABLAS, le temps des TRACAS ».
OBJECTIF DE MMA : Organiser la gestion du dossier en privilégiant leurs intérêts personnels au détriment des intérêts de leur assuré. MMA Retarde l’indemnisation, tant il lui paraît évident que la pression des services sanitaires contraindra l’assuré à accepter une indemnisation à minima.
20 janvier 1998 :les solutions de travaux 1, 2, 3, sont refusées par les vétérinaires «…seule la remise à neuf peut-être acceptée !! Mme CARDON (expert EURISK) et Mme ROZIER (expert AXA) Elles auraient pu le dire pour éviter de perdre du temps !! ».
21 juin 2002 :« deux années d’étude durant lesquelles la MMA a tout d’abord acceptée l’organisation des travaux et les techniques réparatrices, avant de les remettre sans cesse en cause ».