24 janvier 2003 :
Il convient de souligner la particulière mauvaise foi des MMA qui ont soigneusement dissimulé à AXA et au TGI de Meaux la mise en demeure de payer les primes d’assurances qu’elles avaient envoyé à SAPAR le 16 février 2000, sachant pertinemment que SAPAR avait les pires difficultés à reconstituer ses archives détruites dans l’incendie.