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SAS des Produits augé roger

“Les loups ne se mangent pas entre eux”

“Assureurs contre assuré”

COMMENT MMA ET AXA S’ORGANISENT POUR NE PAS INDEMNISER LOYALEMENT
EXEMPLE : LES DEUX SINISTRES DE L’ENTREPRISE SAPAR ET L’ANÉANTIR

Le sinistre construction de 4 500 m2

1997 à 2000 : MMA retarde les réparations.

9 février 2000 : MMA est condamné à verser une provision.

21 février 2000 : un incendie favorisé par les dégradations du sinistre construction ravage l’entreprise.

25 février 2000 : MMA assigne SAPAR en restitution de la provision + intérêts.

29 juin 2000 : SAPAR est condamnée à restituer la provision.

Aujourd’hui : un sinistre et ses nombreuses conséquences jamais indemnisés reste totalement à la charge de l’assuré.

Le sinistre incendie de 6 000 m2

21 février 2000 à 11 h 30 : Incendie favorisé par la dégradation de l’isolation ravage totalement les bâtiments SAPAR.

21 février 2000 : AXA échafaude un réquisitoire d’incendie volontaire.

23 février 2000 : MMA nie être assureur de SAPAR.

2000 à ??? : MMA-AXA coordonnent leurs actions contre SAPAR.

Aujourd’hui : Les obstacles dressés par MMA et AXA n’ont jamais permis un retour en activité de l’entreprise centenaire qui a tout perdu.

AXA PRIORISE UN CONFLIT CONTRE MMA, DÉLAISSE SAPAR EN NÉFASTE DÉPENDANCE
1er mars 1995 : Depuis cette date, AXA et MMA sont co-assureurs de SAPAR. MMA compagnie apéritrice assure 45 % et AXA 34 % du risque Incendie et Pertes d’exploitation. AXA reçoit de MMA tous événements liés.

6 juillet 2000 :

Pas étonnant qu’AXA s’oppose et assigne MMA qui nie, depuis le 21 février 2000, être co-assureur de SAPAR. AXA veut prioritairement partager les conséquences de l’incendie avec MMA. AXA plonge SAPAR dans une expertise qui durera plusieurs années sans possibilité de retour en activité.

6 juillet 2000 :

L’assignation d’AXA, après l’absence de versement des Pertes d’Exploitation, excluent volontairement toute possibilité de reprise d’activité de SAPAR. Ces décisions orchestrent efficacement la ruine de l’assuré. Statistique : 90 % des entreprises ne bénéficiant pas des garanties pertes d’exploitation font l’objet d’une liquidation dans l’année qui suit un sinistre important, 100 % quand l’expertise se prolonge.

2000 à 2006 :

Les deux assureurs manœuvrent ensemble pour retarder les expertises, voire s’exonérer en tout ou partie de leurs obligations contractuelles, s’inscrivent dans une stratégie réfléchie et délibérément déloyale, qui ont tantôt agi seuls, tantôt de concert pour échapper à leurs obligations.