De 1997 à 2000 : les travaux retardés exposent SAPAR au développement de listéria.
LES CONSÉQUENCES SANITAIRES
Exposer volontairement l’entreprise et les consommateurs aux risques sanitaires, provoquer les mesures coercitives des Services Vétérinaires. Constat rétrospectif de la mauvaise foi des MMA.
Depuis 1997 : La carence MMA a exposé SAPAR à la fermeture administrative de l’usine, au retrait des agréments sanitaires.
En février 2000 : Découverte de présence de listéria dans l’entreprise, deux arrêts de production de l’usine de plusieurs jours ont étés requis par la direction des services vétérinaires pour désinfection des locaux et la destruction de 50 tonnes de produits.
De 1997 à 2000 : Les locaux de fabrication sont inaptes au nettoyage
De 1997 à 2000 : Le Docteur Vétérinaire expert agréé Cour de Cassation « L’inaccessibilité des ces zones (mousse de polyuréthane) au nettoyage ne peut évidemment qu’aggraver la contamination bactérienne ».
De 1997 à 2000 : Pendant 30 mois les propositions MMA, interdisent de réparer l’outil de production, finissent par atteindre SAPAR dans l’épidémie de listériose qui sévie en France depuis octobre 1999.
17 février 2000 : 4 jours avant le sinistre incendie, les rapports d’analyses microbiologiques du laboratoire de microbiologie vétérinaire de Maison Alfort démontrent la présence de listéria localisée précisément et uniquement sur la partie dégradée de mousse de polyuréthane des panneaux d’isolation . Toutes les autres analyses réalisées, sur tous les autres équipements sont conformes aux obligations sanitaires de SAPAR.
13 Juin 2002 : « laissent présager des désordres sanitaires inévitables »
Le 2 mars 2000 : « des analyses ont été effectuées avant que la SAPAR ne soit totalement détruite par les flammes et leur degré de fiabilité est quasi total… en tout cas pour ce dossier la SAPAR est hors de cause ».
Le 20 novembre 2002 : Le Ministère de l’agriculture et de l’alimentation « dans l’enquête réalisée… fin 1999, début 2000 aucune souche de listéria appartenant au clone épidémique n’a été isolée dans votre établissement ».