30 mars 2007 :
SAPAR obtient plusieurs mains levées de la saisie attribution, mais la Cour d’Appel infirme le jugement du 25 janvier 2005 et déboute SAPAR.
SAS des Produits augé roger
“Les loups ne se mangent pas entre eux”
“Assureurs contre assuré”
Le sinistre construction de 4 500 m2
1997 à 2000 : MMA retarde les réparations.
9 février 2000 : MMA est condamné à verser une provision.
21 février 2000 : un incendie favorisé par les dégradations du sinistre construction ravage l’entreprise.
25 février 2000 : MMA assigne SAPAR en restitution de la provision + intérêts.
29 juin 2000 : SAPAR est condamnée à restituer la provision.
Aujourd’hui : un sinistre et ses nombreuses conséquences jamais indemnisés reste totalement à la charge de l’assuré.
Le sinistre incendie de 6 000 m2
21 février 2000 à 11 h 30 : Incendie favorisé par la dégradation de l’isolation ravage totalement les bâtiments SAPAR.
21 février 2000 : AXA échafaude un réquisitoire d’incendie volontaire.
23 février 2000 : MMA nie être assureur de SAPAR.
2000 à ??? : MMA-AXA coordonnent leurs actions contre SAPAR.
Aujourd’hui : Les obstacles dressés par MMA et AXA n’ont jamais permis un retour en activité de l’entreprise centenaire qui a tout perdu.
30 mars 2007 :
SAPAR obtient plusieurs mains levées de la saisie attribution, mais la Cour d’Appel infirme le jugement du 25 janvier 2005 et déboute SAPAR.
21 février 2000 :
L’incendie détruit partiellement les pièces du contentieux engagé en 1995 contre AGROTECHNIP Maître d’œuvre de la nouvelle usine, qui reconnaît sa responsabilité dans le dépassement du budget de construction de + 50%, et le choix des panneaux PLASTEUROP.
L’erreur d’AGROTECHNIP conduit SAPAR à sauvegarder ses intérêts et obtenir le 5 septembre 1995 un plan de redressement .
2 septembre 2010 :
AGROTECHNIP exploite depuis le 21 février 2000, la disparition dans l’incendie, de certaines pièces justifiants la totalité des 9,560 M€ de préjudice, et limite à 4 M€ le versement de dommages intérêts en considération des pièces sauvées. Fin 1999, les parties s’accordaient sur une transaction de 6M€ versée début 2000. La situation commande à SAPAR d’accepter cette amputation de 2 M€ dont les preuves justificatives n’ont pu être rapportées.