29 juin 2000 :
Après le déni du sinistre Incendie, MMA prive SAPAR de la provision indemnitaire du sinistre construction. SAPAR doit restituer aux MMA la provision de
865.455,36 € versée à l’issue de l’ordonnance de référé du 9 février 20000. Reste à la charge de SAPAR les nombreux frais engagés en sécurisation des locaux et des 3 années de procédures du sinistre construction.
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AFFAIBLIR L’ASSURÉ, RETARDER L’EXPERTISE
Résister à la prise en charge du sinistre incendie.
25 février 2000 : Affaiblir rapidement SAPAR. Quatre jours après l’incendie, MMA assigne SAPAR restitution de la provision du sinistre construction, dès lors que ce sinistre ne pouvait être réparé, laissant SAPAR supporter toutes les conséquences du défaut d’indemnisation.
10 décembre 2004 :
Philippe BALON avocat MMA affirme que les MMA considèrent ne pas devoir sa garantie à SAPAR, et par conséquent il ne commente pas les réclamations de SAPAR ni faire de proposition indemnitaire.
30 mars 2005 :
MMA gagne du temps, alors que l’assureur a participé à toutes les opérations d’expertise, Philippe BALON avocat MMA réagit après 5 ans de procédure et demande un délai pour présenter les observations MMA.
28 septembre 2005 :
MMA complique la situation de SAPAR vis à vis de l’administration Philippe BALON refuse d’établir une attestation de prise en charge de la taxe locale d’équipement réclamée par l’administration suite au renouvellement du permis de construire déposé par SAPAR et délivré en septembre 2003. SAPAR
devra payer.
16 décembre 2005 :
La stratégie et consiste à sous-évaluer systématiquement les préjudices pour ensuite reprocher à SAPAR de retarder les opérations quand son dirigeant refuse des propositions très insuffisantes. L’expert judiciaire chiffre les préjudices à 6 239 377 € soit 79% de plus que le chiffrage fait par MMA.
29 novembre 2006 :
Le refus des MMA d’indemniser laissant SAPAR sans ressources provoque l’occupation quasi-permanente du site par les gens du voyage. Les installations non touchées par l’incendie sont vandalisées et vidées de leurs contenus obligera SAPAR a engager des travaux important non pris en compte par l’expert judiciaire qui reste à la charge de SAPAR.
7 mars 2019 :
MMA obtient, sans avoir jamais décaissée d’indemnité, du TGI de Meaux le remboursement de 446.090,94 € par SAPAR sur la provision versée par la seule compagnie AXA à SAPAR (jugement TGI Meaux 17 janvier 2001).
2 avril 2019 :
Suite à une erreur d’enregistrement d’appel par RPVA du conseil de l’assuré, les conseils AXA et MMA s’acharnent, une fois encore, et engagent une action en
caducité de l’appel de l’assuré.