21 février 2000 :
Sans le paiement des acomptes prévus au contrat, SAPAR assèche la trésorerie en payant les salariés et autres dépenses pendant plusieurs mois.
SAS des Produits augé roger
“Les loups ne se mangent pas entre eux”
“Assureurs contre assuré”
Le sinistre construction de 4 500 m2
1997 à 2000 : MMA retarde les réparations.
9 février 2000 : MMA est condamné à verser une provision.
21 février 2000 : un incendie favorisé par les dégradations du sinistre construction ravage l’entreprise.
25 février 2000 : MMA assigne SAPAR en restitution de la provision + intérêts.
29 juin 2000 : SAPAR est condamnée à restituer la provision.
Aujourd’hui : un sinistre et ses nombreuses conséquences jamais indemnisés reste totalement à la charge de l’assuré.
Le sinistre incendie de 6 000 m2
21 février 2000 à 11 h 30 : Incendie favorisé par la dégradation de l’isolation ravage totalement les bâtiments SAPAR.
21 février 2000 : AXA échafaude un réquisitoire d’incendie volontaire.
23 février 2000 : MMA nie être assureur de SAPAR.
2000 à ??? : MMA-AXA coordonnent leurs actions contre SAPAR.
Aujourd’hui : Les obstacles dressés par MMA et AXA n’ont jamais permis un retour en activité de l’entreprise centenaire qui a tout perdu.
21 février 2000 :
Sans le paiement des acomptes prévus au contrat, SAPAR assèche la trésorerie en payant les salariés et autres dépenses pendant plusieurs mois.
23 février 2000 :
L’invraisemblable refus de garantie MMA prive volontairement au moment ou il est impératif pour l’entreprise d’être immédiatement indemnisée à hauteur des sommes nécessaires au transfert immédiat du personnel et à la réinstallation provisoire dans un autre lieu au titre des pertes d’exploitation puis à la reconstruction du site de production au titre des autres garanties.
23 février 2000 à ce jour en 2021
MMA n’a jamais versé les indemnités qu’elle devait a SAPAR au titre de l’incendie. Pour rappel, MMA vient déjà d’échapper au versement de l’indemnité qu’elle devait au titre du sinistre construction.
6 juillet 2000 : Le refus MMA donne plusieurs prétextes à AXA pour engager une action judiciaire qui condamne la reprise rapide de l’activité. AXA entend faire participer les MMA à l’indemnisation du sinistre incendie. A ce moment crucial, AXA refuse, lui aussi, d’indemniser SAPAR.
6 juillet 2000 :
La non indemnisation du sinistre construction relevant des désordres des panneaux sandwichs, est un prétexte supplémentaire donné à AXA afin de motiver sa demande d’expertise judiciaire en ce qu’elle entend mettre en cause MMA dans le traitement du sinistre le mauvais état de panneaux PLASTEUROP dans le déclenchement et la propagation anormalement rapide de l’incendie.
21 Février 2000 :
SAPAR assure seule les dépenses pour maintenir en vie l’entreprise (salaires, fournisseurs échéances courantes d’exploitation, fiscale et sociale)
25 février 2000 :
MMA assigne dare-dare SAPAR en restitution de la provision du sinistre construction aux fins d’affaiblir davantage la situation financière de l’assuré, ruiner la reprise d’activité.