Le 6 juillet 2000
AXA signe l’acte de décès de SAPAR, demande par son avocat Pascal CHAUCHARD, une expertise judiciaire sur des accusations bien ciblées pour faire disparaitre l’entreprise, s’ensuit 6 années d’expertises, sur la base d’accusations qui seront toutes abandonnées ou révélées fausses (exemple : les experts d’AXA concluent à l’incendie volontaire).